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Les quatre profils de clients du commerce physique dévoilés par le CNCC et l’Obsoco

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24 Oct 2018
centres commerciaux, commerce en ligne, commerce physique, consommation, étude, Obsoco

Le projet Shopping Promenade Coeur Alsace présenté au salon Mapic 2018

À la demande du Conseil national des centres commerciaux (CNCC), l’Observatoire Société et Consommation (Obsoco) a interrogé 4 000 consommateurs sur leur rapport aux différentes catégories d’espaces commerciaux, des centres villes aux différentes polarités commerciales de périphérie.

L’étude révèle une grande hétérogénéité dans le rapport que les Français entretiennent avec les différents types d’espaces commerciaux et une segmentation claire : la fréquentation devient affinitaire en fonction des choix de consommation. Quatre profils de consommateurs ressortent ainsi distinctement, dont les deux-tiers demeurent attachés à l’offre commerciale que constituent les centres commerciaux :

  • Les exclusifs des centres commerciaux (20% des répondants) : cette population principalement jeune (18-24 ans), sensible au matérialisme et à la modernité, apprécie les achats dans tous les types de centres commerciaux (à ciel ouvert ou non) et moins les achats en centre-ville ou sur les marchés.
  • Les adeptes des grands espaces commerciaux (22% des personnes interrogées) : cette population jeune et urbaine (moins de 34 ans), caractérisée par une sensibilité au matérialisme et à l’hédonisme, apprécie les grands centres commerciaux régionaux ainsi que les centres historiques et centres commerciaux de très grandes villes.
  • Les adeptes des petits centres commerciaux de périphérie (25% de l’échantillon) : les membres de ce groupe, légèrement plus âgés que la moyenne et plus ruraux, sont soumis à une forte contrainte financière. Ils préfèrent les petites surfaces de périphérie ainsi que les magasins installés en bordure d’axes routiers.
  • Les adeptes de la proximité (33% du panel) :   groupe le plus âgé (les plus de 55 ans y étant surreprésentés), ils privilégient centres villes et commerces de quartier. Ils se sentent éloignés des centres commerciaux, retail parks et autres commerces de périphérie. Culturellement et économiquement plutôt favorisés, ils affichent des opinions défavorables à l’égard de la consommation.

La clientèle de chaque type d’espace commercial tend à être de plus en plus homogène, les consommateurs ayant tendance à concentrer leurs visites dans les espaces répondant le mieux à leurs besoins fonctionnels mais aussi à leurs systèmes de valeurs. En conséquence, les centres commerciaux devront d’avantage tenir compte de cette évolution en ciblant et en adaptant mieux leur merchandising à leur clientèle identifiée, établit l’Obsoco.

Les gros consommateurs d’internet le sont aussi en magasins

L’étude révèle par ailleurs que les consommateurs qui achètent le plus régulièrement en ligne sont aussi ceux qui achètent le plus fréquemment en magasin. Il s’agit également de la clientèle qui a le plus augmenté sa fréquentation des espaces commerciaux depuis trois ans. Ces « gros » consommateurs sont particulièrement en attente de praticité, de choix et de prix compétitifs, critères sur lesquels le commerce en ligne est jugé nettement plus compétitif que le commerce physique. « Il revient donc aux centres commerciaux de gommer tous les irritants du parcours du consommateur par une meilleure information en amont, une accessibilité et une signalétique améliorées, des services renforcés et une offre commerciale diversifiée », conseille l’Obsoco.

Le centre commercial, lieu de vie sociale

Les consommateurs interrogés ont exprimé le besoin d’avoir du plaisir dans leur acte d’achat et sont à ce titre en attente d’une expérience améliorée et personnalisée. Ils souhaitent que la dimension expérientielle du centre commercial soit améliorée dans différents domaines: esthétique, responsabilité environnementale, modularité et renouvellement accéléré de l’offre, communication personnalisée…  « Au-delà d’un simple lieu d’approvisionnement, le centre commercial doit devenir ce « tiers-lieu » complémentaire des lieux de domicile et de travail, là où la vie sociale de la communauté s’exprime dans un monde qui sera par ailleurs de plus en plus robotisé. Il n’y a cependant pas de recette universelle pour réussir cette orientation expérientielle qui doit être adaptée aux attentes fonctionnelles et symbolique de chaque catégorie de consommation », avertit la société d’étude.

 

MÉTHODOLOGIE

L’Observatoire du rapport des Français aux espaces commerciaux s’appuie sur une enquête en ligne réalisée par l’ObSoCo sur le panel de Respondi du 22 mai au 15 juin 2018. L’étude a été conduite sur la base d’un échantillon de 4000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 à 70 ans. Afin de garantir la représentativité de l’échantillon, des quotas ont été établis sur la population globale interrogée au regard des critères suivants : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région de résidence et taille de l’agglomération de résidence.
Un espace commercial se définit comme un ensemble de magasins regroupés sur un même espace physique (centres villes, commerces de quartier, marchés, centres commerciaux, retails parks, etc.).

 

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Edito

Le vélo, objet idéal

Pour cette histoire d’un peu plus d’un siècle, rappelons d’abord que la première invention qui tiendra la route, si l’on ose dire, restera la pédale. Soit un objet permettant aux pieds (quoique on trouve aussi des vélos à bras) de faire tourner une roue.

Au début pour aller plus vite avec les pédales fixées sur la roue, les fabricants avaient imaginé d’agrandir démesurément la roue avant. Imparfaite idée : les bourgeois fanfarons du bois de Boulogne n’arrêtaient pas de faire des soleils. La meilleure invention fut donc celle de l’anglais John K. Starley qui brevètera en 1885 la bicyclette d’aujourd’hui, soit des roues de taille raisonnable, une transmission par chaine, un plateau plus grand qu’un pignon et le pilote installé en arrière.

L’avenir du vélo en France passe désormais par les moyens législatifs et budgétaires adéquats

A la fin du 19ème siècle, le vélo deviendra un produit industriel et en France, Peugeot, Manufrance ou Mercier, etc., rendront son prix abordable aux ouvriers.


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